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Mesures de l’ombre. Baudelaire, Flaubert, Laforgue, Verne
Type : livre
Collection :
Editeur : Septentrion
Lieu de publication : Villeneuve d'Ascq
Date de publication : 1987
Format : 203 p. ; 24 cm
Langue : FRE
Illustré de photos : non
Attribution texte/image : Texte critique : Philippe Bonnefis
Notes : Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture.
Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens où l'entendent les baroques, une pompe funèbre.
Si une phénoménologie de la perception vient relayer après coup l'œuvre de Flaubert, s’ouvrir à elle comme l’un de ses débouchés philosophiques, si l’œuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postérité, c’est une fin en revanche que consacre la réflexion esthétique de Baudelaire.
Le règne de l’image s’éteint doucement à l’occident de la littérature. L’image s’enténèbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naît tout juste où meurt le nom de Charles Baudelaire.
L’air de la pourriture, avec ses charognes mélodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boîtes à musique… (4e de couverture)
Source ou rédacteur de la fiche : (P. Edwards, référence Soleil Noir : 193)
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